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WoOdy is a beautiful cowboy

22 septembre 2008

more than a legend... a dream

Kimatsu

Dans un monde parallèle au notre, vivait une créature au plumage de feu. Il était le prince du ciel, il voyait absolument tout.

Ce Phoenix portait le nom de Kimatsu.

Il parcourait chaque jour l’immensité des cieux, laissant derrière lui une chaleur similaire à celle des rayons du soleil.

Un jour, il aperçut un loup prisonnier d’un glacier.

Sa fourrure était aussi sombre que la nuit, et ses yeux aussi brillant que l’or.

Il suffit d’un seul battement d’ailes pour libérer le loup de sa prison de glace.

Ils se regardèrent longuement, et le loup, nommé Kimae, repris sa route.

Le loup gravit la montagne, chacun de ses pas fit sortir de la terre des rose de diamants.

Il observait chaque nuit, du haut de son rocher, les formes enflammées que créait Kimatsu dans le ciel.

Les deux âmes perdues semblaient reliées l’une à l’autre. Cette force incontrôlable les rapprochait chaque minute, sans qu’ils puissent faire quoi que ce soit.

Tout semblai les empêcher de pouvoir s’apprécier. Kimae vivait sur terre, Kimatsu lui dans les airs.

Mais cette force magnétique incontournable pris le dessus, les deux êtres ne firent plus qu’un, et cela, pour l’éternité.

This is a story about a Wolf in love with a fire bird.

Kimae

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27 août 2008

A PhoeniX is born ...

Phoenix
26 août 2008

Rêves

DSCN1850 Envie d'artificialisation sentir ma peau devenir plastique n'être plus qu'un être synthétique Coulé avec toi sous le béton Envie d'une numérisation sentir les nerfs, codes magnétiques devenir nature électronique pour te transmettre mes radiations Envie d'une sensorisation sentir ta peau, plaisir idyllique que nos corps forment une seule dynamique te faire sentir, meilleures sensation Envie d'une décorporation sentir le vent tellement identique et dans un silence si monastique te dire : je t'aime à ma façon
8 août 2008

Kimae

0004_copie

Et puis au détour d'un chemin, de multiples signes du destin qu'il aura sut interpréter, il fit la rencontre d'un être qui lui était semblable.

Une nuit, alors qu'il marchait dans une forêt dont le chemin se voyait éclairé par la lumiere de la lune, ronde, qui brillait ce soir là, il vit un loup. Il le suivit tant bien que mal jusqu'à une clairière qui n'était alors qu'une image de la perfection tant la lumière de l'astre pâle venait rendre la lumière qu'on aurait dit originelle a chaque feuilles, branches et autre pierre qui composait cet endroit de rêve.
Bien qu'il l'avait cherché, il ne put regarder ce loup. Ce n'est que lorsque l'animal plongea son regard dans le sien que tout devint clair. Il devint comme une évidence que les deux avait été créé par un dieu qui était le même. Les deux étaient là à se fixer silencieusement et a plonger respectueusement dans l'esprit l'un de l'autre. L'homme se risqua un sourire au terme de la contemplation qui n'aurait pas été plus étrange que si elle avait été réalisé dans un miroir qui ne renvoyait pas leurs image. Il sourit au loup, celui-ci se pencha pour dévoiler son échine dont les poils argent venaient briller sous la pureté du disque lunaire. Il sembla à ce moment que la forêt elle même s'était tut pour contempler l'alchimie parfaite qui venait de se créer au seins des coeurs de ses deux être qui pourtant ne se connaissait que par l'image que leur renvoyait leur propre vie. Elle s'était tut et laissait à chaqune de ses plantes, de ses arbres et de ses fleurs devenir pour un instant les fruits d'un lien incomprehensible et pourtant si fort.
Puis le loup s'allongea au milieu de cet endroit qui était devenu le coeur d'une intimité tranchante de pureté. Et sans plus de réflexion, comme obéissant à un reflexe gravé depuis sa naissance en son être l'homme s'agenouilla auprès de l'animal qui semblait lui exprimer une gratitude sans pareille de par son regard d'ambre. Alors il pencha son visage vers le loup et embrassa le museau de l'animal qui ferma les yeux pour ne plus les rouvrir de la nuit, alors l'homme s'allongea et posa sa tête derriere l'oreille de la bête où il s'endormi profondément à son tour. Ils étaient là tout deux comme serré dans la position originielle du sein de leur mère. Il sembla cette nuit là que toute la terre tournait autour d'eux et dans un confinement originel ils ne firent plus qu'un, à cet instant de la nuit ou la lune les surplombais de toute sa grandeur. Et au petit matin lorsque l'homme se réveilla, le loup avait cédé sa place à un être d'une perfection comme jamais la nature n'aurait put en concevoir, le loup était devenu un ange qui déploya ses ailes, pris l'homme par la main et l'emmena boire à l'eau de la cascade de l'éternité. Là et à jamais résonna la présence de ces deux être qui avait un jour but de son eau et étaient devenus l'éternité entière par cette gorgée de nectar precieux qu'est le temps qu'ils passaient ensemble.

Une nuit, il avait rencontré Kimae...

10 juillet 2008

Bang Bang

bakonybel_kapolnaUn souvenir tout bête, comme je les aimes, de ces moments qui se gravent à jamais dans votre mémoire, de ces moments pourtant tellement dérisoires. Une voiture qui circule sur les routes de Hongrie, des champs verts, quelques maisons mais très peu, comme une lourdeur du ciel, des nuages lourds qui pèsent sur ces terres désertes et pourtant tellement vivantes. Ces nuages dont encore quelques heures à peine je pouvait voir leur couleur du dessus. Ce blanc... pur au milieu de ce ciel si bleu cet avion qui a chaques virages semblent vouloir être attiré inexorablement vers le sol. Cette terre où maintenant je circule, cette terre qui semble revenu 50 ans en arrière en plein milieu de la campagne, et puis des éoliennes, qui tournent, hypnotiques. Tout ça a tellement l'odeur de l'est, de ces cimetières sauvages bordants les petites chapelles et où les tombent poussent entre les herbes et fleurissent sous la pluie rendant le marbre brillant. Pour finir ce son qui rentre dans votre tête pour ne plus en sortir, cette musique qui semblent porter votre regard et qui se marie à la terre dans le confinement d'une intimité parfaite. Cette voix qui murmure... Bang Bang he shot me down Bang Bang I hit the ground Bang Bang that awful sound Bang Bang my baby shot me down Celà ne pouvait que laisser presager ton retour ...
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20 juin 2008

Du platre dans les veines

Les autres ont fait de moi une chose qui se déteste, Une âme sans plus de réalité que l'illusion des bras qui l'entourent, Une immense étendue à mettre le vide de désirs non comblés, Une jeunesse qui se fane aux pieds de ce qu'elle ne peut pas conquérir, Je suis un enfant du manque, Eternel insatisfait qui espère en silence posséder tout ce qu'il n'aura jamais, Et quand bien même je l'aurais un jour, J'ai peur que tout celà ne soit que trop tard, L'amour engendre la destruction qui brûle en chacun de nous comme les braises d'un feu qui ne demande qu'à s'éveiller.
13 juin 2008

Les anges ne sont jamais là où on les attend

Il n'était alors qu'un jeune dont les repères était ceux d'un classement stricts des strates humaines. Il aurait presque put attribuer a chacun d'entre vous un code barre pour mieux vous mettre en rayon dans son esprit. Comme tout les jeunes de son âge il ne connaissait pas les valeurs de la vie, il ne connaissait pas l'amitié ni l'amour, les autre n'étaient pour lui que de simples objets qui évoluaient simultanément dans la matrice qui avait vu sa création avoir lieue. Il sortait de l'enfance comme le nouveau né sort de son utérus, comme celà lui était arrivé quelques années auparavant, mais aujourd'hui ce n'est pas son environnement existentiel qu'il devait découvrir, mais l'univers complexe des sentiments humains, classés par défauts et par qualités qui font un homme, par les caractères de chacun et dont l'alchimie étrange forgait l'esprit à jamais. BoummIl fut vite émerveillé par la richesse que l'être humain dans son unité offrait et par les possibilités d'assemblages entre deux être plus ou moins réussis qui en résultaient. Il accorda beaucoup de valeur à ces humains qui devenait amis au fil du temps, et dans son microcosme quotidien, dans cette alvéole impitoyable où l'on doit obéir a des rêgles strictes de codifications sentimentales entraînant l'humain à sa forme la plus sauvage, il découvrit lui même l'amitié. Au final il découvrit bien plus que l'amitié il fit la connaissances de quatres anges, chacuns représentatifs de ces valeurs qu'il aimait découvrir avec eux : le rire, l'amitié, le partage et la fraternité. Ils étaient eux même entourés de cherubins voletant autour d'eux dans un grand chamboulement nouveau qu'est l'éveil à l'autre. Tout celà était parti pour perdurer dans une allégresse utopique qui l'ennivrait de jours en jours. Il était question de leurs vécus de leurs goûts et de leurs ressentis, il était question de cet univers qui s'ouvrait grand à eux avec ses joies et ses désillusions, il était aussi question parfois des sentiments nouveau qui venaient naître après ceux qu'ils venaient d'apprendre à connaître, trois sentiments nouveau qu'il leur demanderont une vie pour apprendre a les domestiquer : l'attirance, l'amour et la passion. Et c'est alors dans la plus grande déconvenue et ce alors que rien ne l'aurait laissé penser que notre jeune ami découvrit ces nouvelles valeurs auprès de ces anges pour qui il aurait sacrifié sa vie. Mais il comprit trop tard que ces trois joies sont trois maux qui peuvent aussi bien vous combler de bonheur que vous arracher les pires souffrances du corps, de l'esprit et parfois même toucher l'âme. Il avait connu ces sentiments avant ces anges-amis qui ne le comprenant plus l'abandonnèrent a son triste sort, lorsqu'il revint quelques temps après pour essayer de nouveau de leur faire part de ce que pouvait être une telle chose que celle d'aimer, il déchaîna les foudres de ceux pour qui il aurait tout donner, tout partager, tout prêter, tout garder. Il ne vit plus de fin a la spirale infernales dont il fut victime il ne comprit plus ce qui lui arrivait dans l'acharnement que portait ceux-ci à vouloir le détruire. Il perdit toute confiance, fut renvoyé avec la plus grande violence dans l'uterus interne de son esprit, où il le pensait il devait dorénavant séjourner seul. Il avait quatres trous dans le coeur qui ne voulait plus cicatrisés il devait attendre ici que sa vie se termine bouffé par l'environnement terrible qui l'entourait. C'est alors qu'ils apparurent, à sa nouvelle tentative de sortie de l'uterus, après une hibernation destructrice... Il les vit enfin , les anges, les vrais, ce n'était pas les même que par le passé il sentait en eux une bienveillance naturelle qu'il le savait lui permetrait de se remettre sur la voie. Et le miracle se produisit assisté de ces nouveaux anges ô combien charitables, il réappris depuis le début tout ce qu'il aurait dut apprendre et savoir. Il alla même jusqu'à goûter à l'amour et à la passion, il avait réussi a sortir du cocon de neutralité qui avait suivi sa descente aux enfers. Il était de nouveau debout parmis les anges. Lui même devenu ange dans un paradis artifificiel. Il ne restait plus en son coeur que les quatres trous qui ne lui fesaient plus mal mais qui étaient bel et bien là et qui lui empêchait de profiter pleinement de son éveil. Il le savait il ne pourrait plus goûter comme il l'aurait dut au bonheur auquel il aurait dut avoir droit par le passé et ce à cause des ces anges-ennemis qui croupissent dans les flammes... Il les entends encore bien qu'ils soient loins de lui il entend les échos de leurs cris stridents ils font tellement de bruit qu'il pourrait les détruire les yeux bandés si le coeur lui en prenait, mais l'heure n'est plus à la vengeance qui a bien longtemps perverti l'homme dans ses sentiments. Il le sait dorénavant il doit aller de l'avant et c'est grâce à vous que tout celà est de nouveau possible. Voila l'univers de mon esprit, voila ce qui me sert aujourd'hui comme argile a ma vie, je ne regrette pas le passé et mes souffrances d'hier ne m'ont apportés que plus de force et de courage pour aller de l'avant.
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